Lorsque le ciel s'assombrit
Il y a…
J’aime cette entrée qui permet tant de chose.
Il y a… des portes qui s’ouvrent, des pages qui se tournent et ….. des livres qui se ferment.
Qui l’aurait cru ?
Une vie est si pleine d’aléas, de montagnes que l’on pensait solides et de détails qui le sont plus que l’on aurait pu seulement l’imaginer.
Rien ne semble jamais acquis. Tout est et reste en mouvement. Avec éparses quelques points d’appuis.
Je cherche la clé de nos existences, des raisons, de nos expériences. Je les pose, et regarde… Tout se garde, tout apporte. Même le noir, même le moche mais plus encore ce qui fait sourire, ce qui donne du plaisir, ce qui reste…
Et quand la vie joue les troubles fêtes, alors il n’est pas question de mettre ses mains sur ses yeux, il n’est pas question de balayer d’un geste de la main, il n’est pas question d’ériger quelques boucliers que ce soit. Il faut juste se tenir debout, droite dans la tempête. La laisser prendre, la laisser blesser, la laisser nous arracher larme après larme, jusqu’à sentir l’éclaircie que notre volonté et notre force nous offrent au bout du chemin. Qu’il s’agisse de mort, de perte, de séparation…. Il s’agit d’hurler dans la tempête et de manifester notre mécontentement, pour marquer l’éternel non abandon.
Les mots s’écrivent, se disent et se gravent. Comme une story book, page après page, lignes après lignes, mots après mots, l’histoire de nos vies.
Jamais droite, jamais dégagée, jamais lisse…. La vie.
Mais s'assurer que le soleil revienne!